Pour la 1ère fois, la Réduction des risques et des dommages est nommément citée dans la stratégie de l'UE en "complémentarité" et d'"importance égale" aux autres mesures socio-sanitaires.
L’objectif de ce programme est de limiter l’exclusion en proposant aux personnes à la rue souffrant de difficultés psychiques un logement, élément structurant autour duquel elles vont se construire.
La reconduction d’un Plan Hépatites pour 2013-2016 et l’organisation de deux Conférences de Consensus, tout en impliquant les associations, demeurent essentielles pour une réponse adaptée à cet enjeu de santé publique majeur.
Les organisations de droits humains et les usagers de drogues en Inde demandent au gouvernement de mettre en place des normes probantes sur le traitement volontaire de la dépendance à la drogue, ainsi que davantage d’établissements publics capables de prendre en charge les usagers dépendants.
Le programme « Drogues, sécurité et démocratie » apporte un soutien à la recherche dans une variété de disciplines pour créer un réseau de chercheurs intéressés dans le développement d’approches alternatives en ce qui concerne les politiques en matière de drogues.
Écrit pour les professionnels de la santé, le « Document d'orientation pour les services d'injection supervisée » fournit des conseils aux services d'injection supervisée dans leur localité.
Ces dossiers-synthèse en matière de réduction des risques dans 30 pays européens sont fondés principalement sur des données provenant de questionnaires structurés et de tableaux standards sur les interventions de réduction des risques.
La consommation de drogues injectables est devenue le deuxième moyen le plus commun de contracter le virus en Roumanie. L'année 2011 a vu 129 nouveaux cas de VIH parmi les usagers de drogues injectables, alors que 12 nouveaux cas avaient été enregistrés en 2010.