Des années de plaidoyer, notamment par l’IDPC avec le soutien du Robert Carr Fund, ont conduit à la première résolution de la CND reconnaissant la « réduction des risques » en 2024.
Le gel des fonds américains entraîne la fermeture de programmes de réduction des risques en Afrique du Sud, privant des milliers de personnes de services essentiels.
En supprimant les barrières et en rendant les services plus accessibles, les programmes de réduction des risques ont amélioré la santé et le bien-être de la communauté.
Bien que le Territoire de la capitale australienne (ACT) ait dépénalisé la culture du cannabis, les restrictions exposent encore de nombreuses personnes à des risques légaux.
Plutôt que d’investir dans des mesures coûteuses et inefficaces, le gouvernement devrait privilégier des stratégies de réduction des risques, comme l’analyse des substances.
Les centres de détention forcée pour les personnes usagères des drogues militarisent le "traitement", ignorant la nécessité d’une approche de santé publique et de la décriminalisation.
The Lancet appelle à réparer les impacts des politiques punitives en matière de drogues, en commençant par leur abrogation et l'investissement dans des systèmes de soins et de soutien.
La 141e session de l'Organe international de contrôle des stupéfiants a débouché sur un accord de coopération visant à améliorer la disponibilité des médicaments placés sous contrôle international.
Ce webinaire a exploré la stigmatisation des personnes usagères de drogues, avec des recommandations pour réduire les inégalités et améliorer les politiques publiques.