Des organisations de la société civile du monde entier appellent le secrétaire général des Nations unies à garantir l'indépendance, la crédibilité et la représentativité du groupe d'experts chargé de cette évaluation et à promouvoir une réforme significative et respectueuse des droits humains.
HR25 a mis en évidence le pouvoir de la communauté, de la société civile et du gouvernement pour faire progresser la justice et les politiques et services relatifs aux drogues axés sur les droits humains.
Les décideurs doivent investir dans l'abandon des politiques et des mesures répressives relatives aux drogues, au profit d'approches fondées sur les droits humains, mettant la priorité sur la réduction des risques et le leadership des communautés.
Cette « expérience » politique devrait durer quatre ans et mettre en évidence les avantages et les inconvénients de la formalisation des chaînes de production et d'approvisionnement.
Des expert·e·s des Nations Unies et de la société civile appellent à un passage des politiques punitives à des approches centrées sur la santé et les droits humains.