En 2009, le gouvernement a publiquement déclaré que les consommateurs de drogues nécessitaient des options de traitement basées sur des preuves avérées. Le Ministère de la Santé tanzanien a alors approuvé un plan complet visant à prévenir et à traiter la dépendance à l’héroïne.
Cette campagne de HRI appelle les gouvernements à rediriger 10% des ressources actuellement dépensées dans le cadre de la guerre contre la drogue vers la réduction des risques.
Des millions de dollars sont versées pour soutenir les politiques anti-drogue iraniennes qui peuvent être directement liées aux arrestations et aux exécutions de milliers de personnes, y compris des enfants.
Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) a critiqué la politique actuelle de contrôle international des drogues qui touche les pauvres de manière disproportionnée à travers le monde.
Vivant au Brésil, Ilona Szabo de Carvalho a réalisé qu’elle ne pouvait rester sans rien faire alors que son pays était déchiré par le conflit lié aux drogues et aux armes à feu.
Suite à la fin des financements du Fonds Mondial, trois organisations ont continué de mettre en œuvre des programmes de proximité et d’échange de seringues, mais le gouvernement serbe refuse de prendre en charge le financement de ces programmes.
L'expérimentation, pendant six ans, de salles de consommation de drogue à moindre risque prévue dans le cadre du projet de loi santé de Marisol Touraine a été votée mercredi 18 mars en commission des affaires sociales par les députés.
A l’occasion du renouvellement d’une convention pour la maintenance de deux appareils échangeurs récupérateurs de seringues, le conseil municipal de Bordeaux a confirmé sa volonté d’expérimenter une salle de consommation de drogues à moindre risque.