Les femmes ayant des problèmes de drogue sont fortement stigmatisées et ont des difficultés à quitter leur domicile ou leur famille pour se faire soigner, selon le Rapport mondial sur les drogues de l'ONUDC.
Ces exécutions sont financées à travers des programmes de lutte contre la drogue de l’ONUDC, avec des fonds européens, en particulier de la France et de l'Allemagne.
Maxim Malyshev attend avec son sac à dos rempli de seringues propres près d’une pharmacie. Il mène un combat solitaire au premier rang de la lutte contre une épidémie du sida incontrôlable en Russie.
La ministre de la Justice, Christiane Taubira, a lancé, mardi 30 juin, un projet d'expérimentation pour lutter contre la récidive des toxicomanes, au Tribunal de grande instance de Bobigny, près de Paris. Le dispositif, inspiré de l'expérience canadienne, est inédit en France.
Vancouver a approuvé de nouvelles règles pour autoriser et réguler les magasins illégaux de marijuana, faisant de cette ville la première du Canada à tenter de contrôler ce marché en pleine expansion – entrant ainsi en conflit avec le gouvernement fédéral du pays.
« Aujourd’hui est un jour important pour attirer notre attention sur la menace de la production, du trafic et de la consommation de drogues illicites. Une action robuste est nécessaire pour renforcer les systèmes de justice pénale, briser les réseaux criminels qui se servent de la misère et de la souffrance, et pour encourager les réponses fondées sur la santé et les droits humains ».
Cette campagne vise à réduire les infections et les morts par overdose, éliminer le problème des aiguilles jetées, et traiter la dépendance envers les drogues.
Pendant des années, la Russie est restée remarquablement silencieuse sur le défi auquel elle est confrontée concernant le sida. Ce silence a maintenant été rompu par un épidémiologiste qui a œuvré sur le terrain pendant plus de deux décennies – il qualifie cette situation de « catastrophe nationale ».