Les campagnes éducatives basées sur la peur sont les pierres angulaires des politiques de drogues, malgré leur impact minimal sur la consommation dans les faits.
La semaine dernière, la commission des affaires sociales de l'Assemblée Nationale a voté les articles sur la réduction des risques de la loi de santé. Un service minimum bien en deçà du « nouvel élan » à la politique de réduction des risques nécessitée par les actuelles difficultés.
Le ministère libanais de la Santé publique et le Moyen-Orient et Afrique du Nord Harm Reduction Association ( MENAHRA ) lance campagne de réduction des risques de l'hépatite B.
Cet album photo illustre les événements les plus marquants de la 58ème Session de la Commission des Stupéfiants et le Segment extraordinaire de l’UNGASS. N’hésitez pas à les utilisez pour vos articles et sites internet !
Le Conseil des Droits de l’Homme a approuvé une résolution prévoyant la mise en place d’un panel d’experts pour discuter des politiques des drogues et de leurs impacts sur les droits humains.
Le Groupe de Travail de la Société Civile (CSTF en anglais) vise à assurer une participation équilibrée et inclusive de la société civile dans le processus de l’UNGASS sur la drogue qui sera tenue en Avril 2016.
Bien que les réunions diplomatiques onusiennes soient passablement bureaucratiques, elles jouent cependant un rôle majeur pour nos efforts à mettre fin à la guerre contre la drogue, à essayer de nouvelles approches pour réduire les risques et à dépénaliser les usagers de drogues.
La stratégie de guerre contre la drogue, qui vise principalement à supprimer les cargos de drogues, n’ont pas permis de mettre fin à la menace posée par la drogue en Afrique de l’Ouest et dans d’autres régions du monde.
Cette nouvelle législation irlandaise permettra l’ouverture de salles de consommation à moindre risque pour les usagers d’héroïne afin de réduire les risques pour les usagers et le public.
Alors que les communautés noires et asiatiques ont des taux moins élevés de consommation de drogues que la minorité blanche, les forces de l’ordre ciblent injustement ces communautés.
Un nombre de plus en plus important d’ONG et d’experts gouvernementaux slovaques reconnaissent désormais la validité des preuves disponibles à l’étranger sur l’impact positif de politiques des drogues non-punitives.
Résidents et visiteurs âgés de plus de 21 ans pourront désormais posséder un maximum de 56 grammes de cannabis et cultiver quelques plantes à la maison. Acheter, vendre ou fumer en public reste illégal.