Le site, qui serait le premier de ce genre aux Etats-Unis, fournirait une supervision médicale aux usagers de drogues telles que l’héroïne et la cocaïne.
Des vidéos pour lllustrer des solutions permettant une plus grande cohérence des interventions entre les services de police, les organismes communautaires et les établissements de santé.
Le Gouvernement du Ghana – ainsi que ceux du Bénin et du Sénégal – ont récemment adopté une approche progressiste en matière de lutte contre la drogue.
En vingt ans, le nombre d’affaires liées aux stupéfiants a explosé, mais ce sont surtout les simples consommateurs, plus que les trafiquants, qui sont visés.
A quelques jours de l’UNGASS et à l’initiative de la Drug Policy Alliance, des milliers de personnalités gouvernementales, de la société civile et de la vie culturelle et artistique appellent à la fin de la guerre à la drogue, via une lettre à Mr Ban Ki-moon, secrétaire général de l’ONU. Elle exhorte les États à arrêter les politiques de répression désastreuses et à s’engager pour les droits humains : « Au 21e siècle, l’humanité mérite mieux qu’une politique drogues aussi inefficace et contre- productive que celle du siècle précédent. »
La France, via sa plateforme associative et en lien avec ses prises de position précédentes, fait partie des signataires.
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La plateforme internationale de la société civile française estime que le document final de l'UNGASS reste insuffisant en l’état pour pouvoir réinterpréter les conventions sous un nouveau jour.
Hector Astudillo, gouverneur de Guerrero se prononçait récemment en faveur d’une légalisation de la culture d’opium à des fins thérapeutiques au Mexique dans une perspective de limitation des violences associées aux cartels de drogues.
