L’épidémiologie des eaux usées est une discipline en évolution rapide ayant le potentiel de permettre le monitorage, quasiment en temps réel, des tendances en matière d’usage de drogues illégales au niveau de la population réelle.
Tony Newman poursuit sa tradition annuelle en rédigeant un résumé des principaux articles de l’année sur la lutte menée pour mettre un terme au désastre de la guerre aux drogues.
Les autorités ont placé un site de consommation à moindres risques non autorisé qui fonctionnait dans le centre-ville Est de Vancouver sous l’égide du système de santé officiel.
La Cour constitutionnelle géorgienne a statué que les peines prescrites par la loi pour la consommation, l’acquisition, la possession et la culture de cannabis destiné à un usage personnel sont inconstitutionnelles.
Le cannabis n’a pas fait l’objet d’une révision de la part de l’OMS depuis 1934 et beaucoup de choses ont changé depuis. DrugScience a rédigé et présenté un rapport (avec l’IDPC) qui a mené l’OMS à ordonner une pré-révision du cannabis pour la CND de 2018.
Amapola Durán Salas est une leader communautaire qui plaidoie pour les agriculteurs de coca a petite échelle. Elle eut l'occasion de parler a l'UNGASS 2016 et ici elle est interviewée sur les effets de l'eradication de cultures et d'autres enjeux clés.
Diogenis interroge plusieurs représentants d’Europe du Sud-Est, et leur demande quels sont les changements qu’ils souhaiteraient observer en matière de politique des drogues.
Les Colombiens, et particulièrement les minorités sociales, ont souffert des assauts des politiques de contrôle des drogues menées par les USA dans la région.
Une nouvelle étude parue dans Lancet Global Health révèle que les individus dépendants aux opiacés placés dans des centres de traitement obligatoire sont, de manière significative, plus susceptibles de rechuter après leur libération que les individus dépendants aux opiacés qui reçoivent de la méthadone dans des centres de traitement volontaire.
Felipe Calderón a lancé la guerre après avoir été élu en 2006. Et depuis lors, les USA ont donné au moins 1,5 milliards de dollars – mais la plupart des coûts ont été humains.
Un article porteur d’espoir sur l’usage de drogues, la réduction des risques, et les initiatives de la société civile en Afghanistan, où la capacité à aider les usagers fait défaut tout en étant parfois entravée par l’agence nationale antidrogue.