Le processus d’adhésion à l’UE de la Serbie implique une révision des politiques nationales en matière de drogues, mais la société civile locale reste exclue.
Le Premier ministre Gaston Browne pousse à voter un projet de loi afin qu’aucun adulte ne puisse être inculpé pour de la possession de moins de 10 grammes de cannabis.
La peine de mort, qui représente un exemple extrême des façons perverses dont les gouvernements punissent les personnes suspectées d’être mêlées à des questions en lien avec les drogues, est toujours utilisée par des pays à travers le monde.
Une nouvelle étude suggère que fournir un traitement aux personnes pour la dépendance aux opioïdes dans les prisons est une stratégie prometteuse pour faire face aux taux élevés d’overdoses et de troubles liés à l’usage d’opioïdes.
Le budget du président Trump révèle une forte augmentation en ce qui concerne le financement de l’application des lois et la répression, contrairement au financement des programmes de traitement et de prévention.
Perry Kendall et Donald MacPherson appellent tous deux à des approches de santé publique à long terme telles que la décriminalisation, plutôt qu’à des pratiques de maintien de l’ordre à court terme en matière de politiques des drogues en Colombie Britannique.
Le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les droits de l’homme a appelé à mettre un terme à la peine de mort et aux assassinats extrajudiciaires pratiqués au nom du contrôle des drogues.
Mettre un terme à la transmission du VHC nécessite un meilleur accès aux services de réduction des risques et de traitement, mais aussi de meilleures politiques des drogues.
Le gouvernement ukrainien fournit un traitement de substitution aux opioïdes financé par l’état à plus de 10'000 patients gratuitement, aboutissant ainsi à une multiplication par 100 du nombre de patients recevant un traitement de substitution aux opioïdes depuis 2005.
António Guterres discute de la dépénalisation réussie au Portugal, il souligne la nécessité de débattre des politiques des drogues sans préjugés et idées prédéterminées.
Des données du gouvernement philippin montrent qu’au moins 3'987 individus ont été tués dans le cadre des opérations anti-drogue de la police ; et les organisations actives dans le domaine des droits humains estiment un nombre considérablement plus élevé de morts.
La décision limite considérablement la politique de « tolérance » traditionnellement appliquée par l’état espagnol pour s’occuper des cannabis social clubs.