L’OEDT met en lumière les problèmes spécifiques aux usagères de drogues, les lacunes des connaissances et des recommandations politiques pour que les politiques et les pratiques intègrent la dimension du genre.
ONUSIDA et le FNUAP ont consulté un large éventail de parties intéressées pour produire un document qui identifie des axes de réflexions pour la réalisation des objectifs de 2030.
Complétée par d’autres activités mises en œuvre dans les lieux de vie nocturne, la vérification des drogues peut être utile comme extension des actions de prévention et de réduction des risques, qui peuvent sauver des vies.
La recherche estime qu’il y a 15,6 millions d’usagers de drogues injectables âgés de 15 à 64 ans dans le monde, dont un nombre important qui vivent avec le VIH et le VHC et sont exposés à des environnements défavorables à risques, qui augmentent les dommages à la santé.
L’IDPC exhorte au HCDH de promouvoir la réduction des risques et réitère son appel à la décriminalisation de l’usage de drogues et à la fin de toute autre forme de sanctions inhumaines et disproportionnées.
Comprendre le rôle que joue la consommation problématique de substances dans le succès d’une personne judiciarisée est essentiel à une meilleure réinsertion sociale.
MENAHRA présente une enquête sur l'accès aux services de réduction des risques et de soins dans la région, en soulignant les principaux obstacles et des opportunités d'amélioration.
La Commission se préoccupe particulièrement des politiques de l'État qui visent à punir les comportements liés à la drogue, en particulier ceux liés aux infractions mineures.
Wayne Hall présente un bref compte rendu des traités internationaux sur le contrôle des drogues, décrit les principales critiques et analyse les propositions de réforme.
IDPC analyse les aspects clés du rapport, particulièrement le prologue, le chapitre thématique sur les femmes et les drogues, et la discussion sur la santé, les droits humains et la régulation du cannabis.
