Chang et al. appellent à la fin de la criminalisation de la consommation de drogues et à l’instauration d'une nouvelle réalité basée sur la solidarité et la coopération, afin de protéger la santé et de rétablir les droits et la dignité des personnes qui consomment des drogues.
L'ONUDC compile des données sur les marchés florissants des drogues, notant une augmentation de 30 % de la consommation au cours de la dernière décennie, mais reste pour l'essentiel silencieux sur l'impact du contrôle des drogues sur les droits de l'homme.
AFEW International rapporte que même si les organisations de réduction des risques et les services de santé s'adaptent aux restrictions liées à la pandémie, la continuité de la prévention et du traitement reste affectée.
Transform et MUCD comparent différents aspects des modèles de réglementation dans les provinces canadiennes, notamment les licences, les magasins de détail, les restrictions d'âge, les prix, la culture à domicile et les inégalités sociales qui persistent.
Irvine et al. ont constaté que les kits de naloxone à emporter, les sites de consommation supervisés et la thérapie par agonistes opioïdes ont permis d'éviter des décès par surdose en Colombie britannique.
Unlu et al. affirment que l'impact de la décriminalisation est fortement influencé par des facteurs contextuels, notamment l'investissement dans la réduction des risques et l'implication des forces de l'ordre.
Kolla et Strike soulignent le potentiel de réduction des risques que représente l'inclusion de certaines personnes qui vendent de la drogue dans les programmes.
L'AIN déclare qu'en s'attaquant aux causes sous-jacentes de la culture de la coca, les réductions concertées des cultures de coca en Bolivie se sont avérées plus durables que celles obtenues dans le cadre de l'éradication forcée.
La CADTH a constaté que la diacétylmorphine injectable et l'hydromorphone injectable étaient plus efficaces cliniquement et économiquement que la méthadone.
L'OEDT fait état d'une baisse générale de la consommation de drogues en Europe en raison des mesures de confinement et de pénuries, bien que cela varie fortement selon le type de drogue.
IDPC et TNI affirment que les recommandations de l'OMS seront l'occasion pour les États africains de poursuivre la décolonisation du contrôle des drogues et de renforcer la base juridique des nouveaux programmes de cannabis médicinal.