Moshenska et Shelly estiment que l’archéologie de l’usage de drogues peut éclairer les pratiques de santé publique locales, les expériences vécues et l’impact des lois nationales et internationales sur l’usage de drogues.
Wisse et al. estiment que les changements apportés aux mesures prises par les états relatives à l’usage de drogues et aux questions connexes devraient ouvrir la voie à des changements positifs et durables dans les systèmes de santé et de justice pénale.
Le C-EHRN souligne la résilience des services de réduction des risques afin de mettre en évidence leur flexibilité, leur ingéniosité et leur importance pour la communauté.
Rigoni et al. suggèrent que malgré les obstacles relevant des ressources, la société civile peut apporter une valeur ajoutée au monitorage de la réduction des risques dans la région.
La publication phare de HRW souligne de multiples exemples sur la façon dont les gouvernements utilisent la lutte contre la drogue pour miner les droits.
EHRA examine les services de réduction des risques que 10 pays offrent aux usagers de drogues dans le contexte d’une urgence en matière de santé publique.
HRI et l’IDPC discutent de certains défis actuels et émergeants auxquels sont confrontées de manière spécifique les personnes détenues pour des infractions liées aux drogues et les prisonniers qui font usage de drogues.
Baltazar et al. mettent en lumière l’impact positif de l’accès aux centres d’accueil et aux services qui y sont liés sur la santé des usagers de drogues.
Plotko et al. ont découvert que, dans l’ensemble, l’éducation donnée aux jeunes en matière de drogues dans la région reste ancrée dans le paradigme « simplement dire non ».
L’OEDT a découvert que la pandémie de coronavirus a affecté la disponibilité et la demande de services en lien avec les drogues en raison de l’introduction de restrictions, de la distanciation sociale et des politiques menées pour limiter les soins ne relevant pas des urgences.
Le Conseil de l’Union Européenne approuve la nouvelle stratégie du bloc régional, basée sur la réduction de l’offre, la réduction de la demande et la lutte contre les dommages liés aux drogues.