L’IDPC et TNI fournissent une vue d’ensemble de l’évolution du langage agréé au sein des Nations Unies à propos des questions clés en matière de politiques des drogues au cours des trois décennies précédentes.
Malgré une chute historique du nombre de personnes exécutées dans le monde entier pour des infractions liées aux drogues, le nombre de personnes condamnées à mort a augmenté de manière inquiétante.
La nouvelle stratégie de l’ONUSIDA introduit des objectifs importants et ambitieux pour supprimer les politiques qui alimentent la criminalisation des populations clés, y compris les usagers de drogues.
DLA Piper souligne les initiatives visant à protéger la santé et la sécurité des personnes détenues dans des établissements pénitentiaires dans le contexte de la situation de pandémie, de même que leurs limites.
Les conclusions d’Arum et al. soulignent l’importance des interventions de lutte contre le sans-abrisme et les situations de logement instables combinées à la prévention du VIH et du VHC.
En se fondant sur des études de cas internationales, le gouvernement écossais met en lumière le rôle de la criminalisation dans l’aggravation des dommages et l’affaiblissement des réponses sanitaires et reconnaît la nécessité d’une réforme radicale des politiques.
APCOM explore les préoccupations concernant l’usage de drogues dans le cadre de rapports sexuels entre hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et entre femmes transgenres.
Chang et al. mettent en lumière les avantages et les inconvénients des initiatives existantes impliquant des pairs dans la mise en œuvre de services de lutte contre le VIH et de réduction des risques.
LOEDT décrit les principaux effets des restrictions relatives au COVID-19 sur la population des usagers de drogues et sur l’offre et la demande de services liés aux drogues.
INPUD démontre la manière dont la participation accrue des usagers de drogues dans le Fonds mondial renforce les programmes de réduction des risques liés aux drogues.