Canêdo et al. soulignent les besoins en matière de réduction des risques et lancent dix appels à l'action pour améliorer le soutien et l'accès des jeunes.
Malinowska-Sempruch et Lohman exhortent le secteur de la santé publique à contester la prohibition et à se joindre aux appels en faveur d'alternatives qui donnent la priorité au bien-être social, à la santé et aux droits humains.
Le Groupe Pompidou analyse l’impact de l’usage des drogues des parents sur les enfants, soulignant l’impact négatif de la criminalisation et de la stigmatisation, et suggère des recommandations politiques pour répondre aux besoins des enfants et des parents.
Amnesty conclut que les réponses au COVID-19 ont amplifié les inégalités auxquelles sont confrontés les groupes et les communautés déjà visés par des lois pénales discriminatoires.
Le Conseil de l'Europe propose un outil d'auto-évaluation pour encourager les États à mieux comprendre la situation sur le terrain et à envisager des réformes.
L'OMS souligne les développements récents, notamment l'impact de COVID-19 et sur l'accès aux médicaments contrôlés, et appelle à une approche de santé publique.
Le projet « LET ME » propose des conseils sur les méthodes et approches efficaces pour discuter de la réduction des risques et des drogues avec les jeunes.
Le C-EHRN offre une analyse de la manière dont les politiques et les programmes de réduction des risques sont mis en œuvre dans la région, avec un accent sur le rôle de la société civile.
