L'étude examine l'impact des flux importants de trafic de cocaïne sur les femmes et les enfants contraints à la prostitution, les migrants illégaux utilisés comme main d’œuvre et les armes à feu.
Les tendances et modes de trafic de drogue dans le pays démontrent que les drogues traditionnelles/naturelles cèdent progressivement la place aux drogues synthétiques.
Un rapport publié par le Centre National de Recherches sur les Drogues et l’Alcool (National Drug and Alcohol Research Centre) révèle que 500 Australiens âgés de 15 à 54 ans sont morts suite à des overdoses accidentelles d’opiacés en 2008, la dernière année pour laquelle les chiffres définitifs sont disponibles.
Depuis le départ, l’approche du Japon vis-à-vis du trafic et de la consommation de drogues se base sur la pénalisation et la punition sévères de la moindre infraction.
Ce rapport de synthèse examine les lois et politiques en vigueur qui affectent les politiques en matière de drogues et de réduction des risques en Inde.
Cette étude examine et analyse les lois et politiques en vigueur qui affectent les politiques en matière de drogues et de réduction des risques dans le pays ainsi que les événements récents et les changements de politique qui affectent les politiques des drogues et les mouvements de réduction des risques en Thaïlande.
L’infrastructure pour le traitement en Inde est encore médiocre et inadéquate. Pour en savoir plus, en anglais, veuillez lire les informations ci-dessous.
Ce document conclut que le gouvernement Thaïlandais n’a pas encore développé une politique cohérente basée sur la réduction des risques pour réduire la forte prévalence des pathogènes transmis par voie sanguine.
Ce document montre comment la recherche qualitative donne un aperçu des expériences et des perceptions des usagers de drogues que les statistiques seules ne peuvent pas fournir.
Cinquante ans après la mise en place du régime international de contrôle des stupéfiants, 80% de la population mondiale a peu ou n’a pas du tout accès aux opiacés médicinaux utilisés pour soulager la douleur et la souffrance, alors que les problèmes liés à la dépendance à la drogue dans le monde ne sont pas résolus. Pour en savoir plus, en anglais, veuillez lire les informations ci-dessous.
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This article by Katherine I. Pettus, PhD, identifies key rhetorical dimensions of the legal framework governing access to “essential medicines” and analyzes how they obstruct effective public health strategies for palliative care worldwide. The World Health Organization (“WHO”), palliative care physicians from around the world, and civil society organizations such as Human Rights Watch, the Open Society Institute, and the Pain Policy Studies Group at the University of Wisconsin, have focused attention in recent years on the fact that essential medicines are unavailable for palliative care in “low and middle income countries” (LMICs).
Identified barriers to access include lack of effective systems for assessing medical needs; laws and regulations and their administration or interpretation that unduly impede the availability of opioids; under-resourced healthcare systems; fear of addiction among professionals and the public, and lack of up-todate professional training in the use of opioids to treat pain.
These “external barriers” are distinguished from what I consider to be the true source of the problem of access, the internal barriers, or tensions within the mandates of the global narcotics regime itself.Efforts to remove the external barriers will be unproductive and incoherent until tensions between the internal barriers are addressed and resolved. To begin this process key texts of the regime are analyzed as well as more recent conceptual additions such as the socalled “principle of balance,” which has become an integral part of the palliative care advocacy discourse.
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Cet examen systématique a été effectué pour quantifier la relation entre le traitement de substitution et le risque de transmission du VIH chez les usagers de drogues injectables.