Ce rapport donne un aperçu des tendances et des niveaux de consommation de drogues parmi la population carcérale européenne et examine les politiques européennes de santé dans les prisons et les modèles de prestation de soins de santé aux détenus.
Cette publication porte sur les différentes formes de « stigmatisation due aux drogues» à travers l'histoire, identifie les problèmes liés aux drogues et propose un guide de bonnes pratiques aux journalistes.
Bien que la prévalence de l'usage de cannabis au cours ans passé au sein de la population générale soit stable ou en diminution dans de nombreux pays, les demandes de traitement dans le cadre duquel le cannabis est la principale drogue continuent d'augmenter.
Ce réseau de partage son expertise et ses données au sein d'un mécanisme européen de surveillance et d'information. Ce rapport de tendance comprend 1 690 analyses de la période de Janvier à Mai 2012.
Au cours de l’année 2012, le projet « Action Communautaire pour la Réduction des Risques » est devenu opérationnel dans 5 pays en offrant des services à des usagers de drogues injectables, leurs familles et conjoints.
Les usagers de drogues sont inclus pour la première fois en tant que groupe spécifique nécessitant une aide juridique lorsqu’ils entrent en contact avec le système de justice pénale.
La réunion visait à passer en revue un certain nombre de substances et offrir des conseils à l'Organisation Mondiale de la Santé quant à leur inclusion dans le cadre des conventions internationales de contrôle des drogues.
Le rapport conclut que la peine de mort ne peut être prononcée que pour les crimes les plus graves: ceux impliquant un meurtre intentionnel. Cela signifie que, sauf quand elles impliquent des homicides intentionnels, les crimes liés aux drogues ne doivent jamais être punis par la peine de mort.
Les usagères de drogues injectables sont confrontées à de nombreux risques sanitaires et problèmes d’accès aux soins adaptés. Ces facteurs liés au genre peuvent contribuer à des taux élevés de VIH.