INPUD démontre la manière dont la participation accrue des usagers de drogues dans le Fonds mondial renforce les programmes de réduction des risques liés aux drogues.
Mainline, MEWA et PHI soulignent la manière dont les violences liées au genre contre les femmes créent des obstacles importants dans l’accès aux services de soins de santé et de traitement liés aux drogues.
L'Economist Intelligence Unit calcule des milliards d'économies si la région adoptait une approche de santé publique renonçant à la criminalisation des usagers de drogues.
L'IDPC fait la lumière sur les politiques nationales de décongestion des prisons pendant la pandémie COVID-19 en cours, en soulignant les opportunités, les défis et les leçons apprises.
O’Gorman et Schatz soulignent les avantages des partenariats ente la société civile et les institutions politiques pour répondre aux besoins des usagers de drogues en matière de réduction des risques.
Dix ans après l'adoption des Règles de Bangkok, les pays ont largement échoué à les mettre en œuvre, alors que le nombre de femmes en prison a augmenté de façon spectaculaire.
Wisse et al. estiment que les changements apportés aux mesures prises par les états relatives à l’usage de drogues et aux questions connexes devraient ouvrir la voie à des changements positifs et durables dans les systèmes de santé et de justice pénale.
Le C-EHRN souligne la résilience des services de réduction des risques afin de mettre en évidence leur flexibilité, leur ingéniosité et leur importance pour la communauté.