Open Society Foundations appellent les ONG ayant été impliquées dans des initiatives de travail avec la police pour améliorer la santé et les droits humains des travailleurs du sexe et /ou usagers de drogues à partager leur expérience.
La campagne montre les effets négatifs de la pénalisation de l'usage de drogues afin de mobiliser des appuis en faveur
d'approches alternatives fiables et qui protègent les droits humains, la santé et le potentiel des jeunes à travers le monde.
Ce blog constitue une ressource unique pour que les journalistes, responsables politiques, chercheurs, activistes, etc. puissent mieux comprendre la politique vénézuélienne et les droits humains.
La Charte Pour une autre politique des addictions veut promouvoir une nouvelle politique en la matière, qui développe la prévention, la réduction des risques, les soins et la réduction de l’offre et du trafic.
Le Réseau Mondial pour le Droit d'Intérêt Publique (PILnet) sollicite des candidatures pour le second prix annuel européen des partenariats servant l'intérêt publique. Le(s) meilleur(s) projet juridique bénévole, entrepris conjointement par une ONG et un cabinet juridique en Europe sera récompensé.
Ce réseau a été établi pour encourager la création et le soutien d’organisations d'usagers de drogues dans d'autres régions du Kenya afin qu'elles puissent contribuer à l'élaboration de politiques et de programmes pour les usagers de drogues.
Le programme de réduction de risques en Afghanistan, développé par Médecins du Monde depuis 2006 vient d’être confié à l’Organisation pour le Réduction des risques en Afghanistan.
Dans cette déclaration, l'IDPC appelle à la mise en place d’une stratégie sur la drogue intégrée et mettant l’accent sur la santé publique, l'inclusion sociale et le développement économique au travers de structures institutionnelles solides.
Au cours d'un débat thématique spécial consacré à la menace que constituent les drogues et la criminalité pour le développement, M. Fedotov a dit qu'à l'approche de l'horizon 2015, fixé pour faire le bilan des progrès réalisés au niveau mondial pour atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement, il est de plus en plus admis que la criminalité organisée et les drogues illicites empêchent la réalisation de ces objectifs.
Le 26 juin, l’assemblée générale des Nations Unies fait un premier pas pour changer notre vision de la prohibition des drogues. Cette étape importante est saluée par les professionnels suisses des addictions, qui voient ainsi leurs positions sur le « deal de rue » enfin reconnue.