La ministre des affaires sociales et la santé, Marisol Touraine, a officiellement chargé la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt) de faire des propositions pour la mise en place de salles de consommation à moindre risque (SCMR).
L’ensemble des études qui sont sorties ces derniers mois sur les usages de substances psychoactives, d’ESCAPAD et ESPAD 2011 à HBSC en avril 2012 et qui se rajoutent à d’autres études en santé publique, montre la nécessité de repenser la politique des addictions
Le Réseau Français de Réduction des Risques et l'agence de création audiovisuelle et multimédia SOBAM s'associent pour réaliser d'ici la fin de l'année un webdocumentaire sur la réduction des risques, pour une mise en ligne début 2013.
Les responsables de la fondation « Jugend- an Drogenhëllef » ont mis en évidence que le succès de la salle de consommation à Luxembourg-Ville montrerait que de tels centres seraient très importants
Après le refus de l'ancien premier ministre François Fillon, en opposition avec sa ministre de la santé et les élus des grandes villes de tous bords, François Hollande promet de « laisser Paris et Marseille expérimenter les salles de consommation supervisée », le temps de leur expérimentation est venu.
En trois mois, la France a vu naître 150 «Cannabis social clubs». Un adhérent commente l’essor de ces associations autogérées de consommateurs qui entendent peser dans le débat sur la dépénalisation.
Les Présidents du Mexique, de la Colombie et du Guatémala ont demandé un débat mondial vigoureux sur les lois relatives à la drogue aux Nations Unies en questionnant le bien-fondé de la « guerre contre la drogue » promue par les Etats-Unis.
Lors de la réunion des Hauts Fonctionnaires en Matière de Drogues d’ASEAN, l’IDPC a souligné les mouvements de réforme des politiques des drogues dans le monde afin de soutenir une révision de la Stratégie sur la Drogue d’ASEAN.
Agissez en demandant aux Ministres des affaires étrangères du Commonwealth de s'engager à réformer les nombreuses lois discriminatoires qui continuent à freiner la réponse au VIH.
En mettant l'accent sur l'emploi plutôt que l'incarcération, en optant pour un traitement humain plutôt qu’une approche punitive, et en prônant la participation volontaire plutôt qu'obligatoire, le « Sunshine Project » marque une rupture avec l'approche traditionnelle stricte de la Chine à l'égard des usagers de drogues.
Les partis politiques ayant remporté les élections devront trouver un terrain d'entente sur la question des coffee shops, tout en étant contraints de former un gouvernement stable, capable de faire face à la crise financière et aux questions d'intégration européenne.