Rumah Cemara, avec le soutien de Youth Rise, a organisé un programme communautaire visant 50 jeunes usagers pour offrir des services par les pairs aux personnes affectées par la consommation de drogues et le VIH à Bandung, en Indonésie.
La campagne vise à transformer la façon dont les pouvoirs publics brésiliens traitent le problème de la drogue, ce qui a poussé Viva Rio à organiser un séminaire pour les officiers de police à Rio de Janeiro.
Le nombre d'usagers de drogues injectables augmente chaque année en Roumanie, alors que les mesures de réduction des risques ne parviennent pas à faire face à l’augmentation de la demande.
Les « Yeux grands ouverts » retrace les expériences des personnes ayant fait une overdose accidentelle d’opiacés et du médicament de l’urgence, la naloxone, dans deux villes canadiennes.
Cette sélection de vidéos est consacrée à l'accès aux seringues, l'élaboration et la réussite des programmes, les questions de sécurité, de politique et de plaidoyer.
Les responsables politiques et les professionnels ont besoin de davantage d’informations au sujet des «interventions précoces», afin de mettre en œuvre ces stratégies à grande échelle et de répondre aux obstacles auxquels ils peuvent être confrontés lors de la mise en pratique de découvertes scientifiques.
Le traitement de substitution aux opiacés et les mesures de réduction des risques sont essentiels pour lutter contre le VIH et d'autres infections dans les prisons eurasiennes.
L'objectif de cette rencontre était de partager les expériences au sein de la région et de discuter les manières de renforcer le développement organisationnel d’un réseau de réduction des risques qui couvrira l'Afrique de l'Est.
Les lois du Bon Samaritain relatives aux overdoses de drogues donnent immunité aux personnes qui font appel à une assistance médicale lors d’une overdose.
Ce projet, financé par le programme Grundtvig Apprentissage Tout au Long de la Vie, documentera des exemples de bonnes pratiques dans différents pays européens et développera un programme de formation pour promouvoir le travail et la (ré) intégration sociale.
Le Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire a partagé ses préoccupations concernant l'usage excessif de la privation de liberté et l'absence d'aide juridique pour les personnes arrêtées et détenues, une grande partie d’entre eux pour possession de petites quantités de drogues.