Dès la fin des années George W. Bush jusqu’aux mandats d’Obama, les Etats Unis ont déporté des immigrants pour des infractions liées aux drogues à un rythme sans précédent. Cependant, ces mesures sont disproportionnellement élevées quand elles s’appliquent aux coupables d’infractions mineures liées aux drogues.
Les femmes constituent actuellement la part de la population qui s’accroit le plus dans les prisons aux Etats Unis. Cependant, ceci n’est pas la conséquence d’un plus grand nombre de femmes usagères de drogues, mais plutôt celle de changements dans la détermination des peines aux Etats-Unis.
Le gouvernement ukrainien n’a pas autorisé la livraison d’OST sur les territoires incontrôlés, et les autorités de la République Populaire de Luhansk ont décidé de fermer le programme, entrainant des effets dévastateurs sur les patients.
WOLA a créé un reportage photo, afin de montrer le coût humain des politiques des drogues actuelles en Amérique. Ces photos racontent l’histoire de quatre femmes, et apportent chacune un regard unique sur le cycle de la pauvreté, profondément troublant, le faible engagement, l’emprisonnement, et le récidivisme, vers lequel les femmes sont souvent poussées.
Un groupe d’universitaires issus des plus grandes universités d’Indonésie s’est rassemblé pour protester, avec des experts de la société civile, et appeler à une réponse aux drogues justifiée, en Indonésie.
À l’occasion de la Journée internationale de la lutte contre l’abus et le trafic de drogues, prenons conscience de l’importance qu’il y a à aborder ces problèmes dans une optique équilibrée, sachant que le développement durable peut et doit susciter des changements sur tous ces fronts.
ASUD s’est doté d’un outil, l’Observatoire du Droit des Usagers, visant à favoriser la réappropriation par les usagers de drogues de leur citoyenneté en permettant de dénoncer les manquements afin de faire valoir leurs droits.
Populations, gouvernements et officiers de police ont appelé à une réforme et à une professionnalisation des forces de police, à travers une responsabilité accrue, une légitimité et un contrôle plus poussé, en vue de se conformer aux besoins actuels de la population.
La formation vise à développer les compétences des participants, en vue de soutenir leurs propres gouvernements à adopter des politiques des drogues qui soient étayées par la santé publique et la sécurité des citoyens, ancrées sur une approche de réduction des risques fondée et soutenue par des lois ou coutumes qui soient conformes aux droits humains.
L’utilisation croissante de personnes âgées comme mules par des organisations criminelles a provoqué un appel, adressé aux autorités, à reconsidérer les peines sévères imposées à leur encontre à Hong Kong.
La plupart des infractions liées à la drogue pour lesquelles la peine de mort est appliquée dans les tribunaux nationaux ne peuvent être qualifiées de « délits les plus graves » comme l’entend le droit international des droits humains, puisqu’elles ne constituent même pas des délits « particulièrement sérieux » au sens du droit sur le contrôle international des drogues.
Selon M. Ivanov, 200 000 usagers de drogues sont poursuivis chaque année pour des délits administratifs et pénaux. La réorientation de ces individus vers un traitement améliorerait la situation générale de la consommation de drogues dans le pays.