Le 21 juin est la journée où l'on honore et se souvient de nos amis, de nos êtres chers, de nos pairs et de nos camarades décédés du fait de l'injustifiable, vaine et absurde guerre contre les drogues.
Le fait de croire que l'application de peines plus sévères contribue à réduire les marchés des drogues s'est imposé pendant des décennies dans la politique des drogues, maximisant ainsi l'impact négatif des politiques prohibitionnistes.
Récemment en Afrique du Sud , des consommateurs de drogues, des avocats et des défenseurs de la réduction des risques ont eu l'occasion de surmonter l'exclusion en produisant quelque chose de très positif et important.
Le 26 juillet 2016 a eu lieu une table ronde pour la célébration de la journée mondiale contre l’hépatite sous le thème : « Prévenir l'hépatite, agir maintenant ».
Pour souligner la Journée mondiale de l’hépatite, le 28 juillet, la World Hepatitis Alliance, avec un grand nombre d’organisations de la société civile, a lancé un mouvement mondial pour éliminer les hépatites virales d’ici à 2030 : « NOhep ».
Sur les 446 résumés qui contiennent les mots clés « réduction des risques », « usage de drogues », et « politique des drogues », seulement six ont été acceptés pour une présentation orale et trois pour une discussion ultérieure.
Pour la cinquième année consécutive, l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC) a rapporté un déclin des superficies où la coca est cultivée dans l’Etat Plurinational de Bolivie.
Au cours des 3 dernières années, la communauté médicale s’est unie pour s’opposer aux tentatives visant à placer la kétamine, un médicament indispensable pour l’anesthésie et le soulagement de la douleur, sous le contrôle international restrictif.
Le Dr Emmanuel Luyirika (Association africaine de soins palliatifs) discute de la nécessité de garantir des soins palliatifs pour les personnes vivant avec le VIH en Afrique.
