Les morts liées aux drogues, particulièrement parmi les personnes qui s’injectent des opiacés, continuent d’être un enjeu de santé publique, avec des taux qui s’accroissent au fil du temps en Ecosse et qui sont plus élevés que dans toutes les autres régions du Royaume-Uni.
Bien que les tentatives précédentes n’aient pas été couronnées de succès, les partisans avancent que la loi fédérale allemande permet des expérimentations au niveau local.
Des politiques fondées sur des données scientifiques devraient inclure la décriminalisation de la consommation personnelle de drogues, étant donné que cette approche a été démontrée efficace et propice au maintien de la dignité humaine.
A l’échelle mondiale, un prisonnier sur cinq est détenu pour des condamnations liées aux drogues, la grande majorité pour de la consommation personnelle ou de la possession.
Le Forum de la société civile sur la drogue (CSF), un groupe d’experts de la Commission Européenne, a tenu sa réunion plénière annuelle à Bruxelles la semaine dernière. Le Forum est devenu une voix importante, mais il a besoin davantage d’inclusion et de financement de la part des institutions de l’UE.
Les modifications apportées à l’Accord de paix entre les FARC et le gouvernement colombien sont nombreuses et révèlent le fait que le commandement de la guérilla a fait des concession sur plusieurs points essentiels.
Le Ghana se dirige vers une nouvelle politique des drogues qui en décriminaliserait l’usage et la possession. Cela serait une avancée considérable dans la région – le premier pays à prendre de telles mesures en dehors de l’Europe et des Amériques.
Selon la description qu’en fait l’état, la violence est la faute des cartels Mexicains. Toutefois, les preuves suggèrent que la police locale et la police fédérale, ainsi que les militaires sont complices de nombreux assassinats.
Le président élu Donald Trump a été véhément au sujet des effets négatifs de la légalisation, mais il a aussi affirmé que les questions du cannabis récréatif et du cannabis médical devraient être légiférées au niveau des états.
La ville de Varsovie est sur le point de mettre en œuvre un programme de deux ans pour réformer la politique des drogues de la ville, et le Polish Drug Policy Network mènera des actions plus larges pour encourager l’UE à développer une stratégie commune en matière de drogues qui serait appliquée au niveau local.
Même si le Plan d’Action facilite la disponibilité d’options de traitement fondées sur des preuves scientifiques, il reste encore à répondre aux appels à la mise en place de programmes de réduction des risques et à la collecte de données épidémiologiques, qui sont des questions essentielles.