L’ONUSIDA rapporte que seulement 3,3 pourcents des dépenses consacrées à la prévention du VIH entre 2010 et 2014 étaient affectées aux personnes qui s’injectent des drogues.
Cet événement, organisé en marge de la CND en Décembre, indique un intérêt croissant pour mettre fin aux difficultés auxquelles sont confrontées les femmes incarcérées pour délits de drogues.
Reprieve a appelé à « une clarification urgente de la politique de la Commission Européenne en matière de financement des opérations antidrogue en Iran ».
Le Myanmar a pris une nouvelle mesure timide dans le sens d’une prise de distance par rapport aux peines draconiennes appliquées pour les infractions liées aux drogues.
Des représentants des municipalités de Bandung et Surabaya ont élaboré un plan de suivi pour introduire des activités jugées utiles lors de leur visite sur le terrain.
Des parlementaires de l’ASEAN expriment leurs préoccupations au sujet de la tentative de Duterte de soumettre en toute hâte au Congrès un projet de loi pour le rétablissement de la peine de mort.
En 2015, 54% des personnes qui s’injectent des drogues ont affirmé qu’elles ont eu recours à un programme d’échange de seringues l’année précédente, contre 36% en 2005.
L’OMS pourrait montrer qu’elle se soucie du cannabis et des millions de personnes qui en utilisent en réduisant les dommages sociaux et sanitaires causés par la politique internationale actuelle.
Le rétablissement de la peine de mort ne représenterait pas uniquement un revers majeur pour le pays, mais il violerait aussi les lois internationales.
A l'intérieur d'une camionnette, des bénévoles pourront tester en quelques minutes la qualité de la substance, les utilisateurs n'auront pas besoin de décliner leur identité et ne seront pas inquiétés par des poursuites judiciaires.