Plutôt que de diaboliser les usagers, nous devrions nous pencher sur les motivations profondes à prendre des drogues autant puissantes et dissociantes.
Bien qu’un grand nombre de pays de la région mettent en œuvre des politiques excessivement répressives, d’autres commencent à reconnaître leurs conséquences négatives et à envisager une réforme.
Un groupe de mères et de veuves ont déposé des plaintes contre des policiers soupçonnés d’être responsables des meurtres de leurs fils et de leurs maris.
L’annonce fait suite à de nombreux appels d’autorités de l’ONU exhortant les Philippines à aligner leur stratégie antidrogue sur les normes internationales.
PEPFAR, Gavi et l’Initiative du Président des Etats-Unis pour lutter contre le paludisme ont aussi été épargnés, même si le budget aura un impact sur le financement de la lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme.
En janvier 2017, le ministère russe des finances a rejeté une demande de 1,2 milliards de dollars du ministère de la santé, nécessaires à la mise en œuvre de la Stratégie nationale de lutte contre le SIDA.
Dès janvier 2018, la Suisse siègera à nouveau pour quatre ans dans la principale entité de l’ONU intervenant dans le domaine de la politique des drogues.
Promesse de campagne de Justin Trudeau, la consommation et la possession de cette drogue à des fins récréatives pourraient être autorisées à partir du 1er juillet.
La loi a réussi à cacher le problème, mais l’a vraisemblablement aggravé en poussant la production et la vente des substances les plus dangereuses vers le marché noir.
Jane Philpott, la ministre de la santé, a refusé de soutenir une décriminalisation généralisée, suggérant qu’une quantité considérable de données supplémentaires seraient nécessaires pour promouvoir cette politique.