Un recueil de vidéos de la 25ème Conférence Internationale sur la Réduction des risques, y compris un court métrage de synthèse réalisé par la Fondation Rights Reporter.
Cette violente opération de police à « cracolândia », à São Paulo, marque la destruction d’un programme social et de réduction des risques efficace, « De Braços Abertos ».
Alors que l’usage de drogues par intraveineuse a augmenté dans le monde entier, les pays n’ont pas réussi à soutenir les pratiques de réduction des risques pour minimiser les risques associés à l’usage de drogues.
Les lois internationales visant à promouvoir les droits des enfants sont utilisées par des états pour justifier l’application de la peine de mort pour les infractions liées aux drogues.
Les délégués à l’Assemblée Mondiale de la Santé prônent des efforts renouvelés pour répondre au problème mondial de la drogue, en promouvant une collaboration plus poussée entre les organes de l’ONU et en souscrivant aux recommandations relatives à la santé contenues dans le document final de l’UNGASS de 2016.
Les sites de Montréal sont inspirés d’Insite, celui qui est basé à Vancouver, qui était la première ville d’Amérique du Nord à avoir un lieu de consommation à moindres risques, qui a débuté en 2003.
Les dirigeants religieux affirment que la position du gouvernement alimente la vengeance et n’a pas d’effet dissuasif, comme le montrent les taux de criminalité qui ne diminuent pas.
Malgré les démarches, prometteuses en apparence, axées sur la communauté, les méthodes incluent la détention forcée, et l’absence d’aide médicale et de soins pendant la période de manque.
Les services de contrôle de la qualité des drogues, tels que The Loop, gagnent du terrain, alors que les autorités réalisent leur potentiel pour réduire les risques liés aux drogues.
Les politiques des drogues prohibitionnistes mènent à l’incarcération de masse et à des violations des droits humains, de la « désintoxication » forcée aux assassinats extrajudiciaires.