Une trentaine de participants des secteurs clés se sont accordés sur le besoin de recalibrer les politiques des drogues dans la région afin d'incorporer une approche de santé publique.
Une consultation pluripartite dans la région du Mano s'est achevée avec une série de recommandations qui visent à mettre en valeur le développement et la santé publique comme enjeux clés pour les politiques des drogues.
Pendant trois jours, des représentants nationaux et internationaux sont intervenus afin de démontrer le succès des programmes de réduction des risques.
Une large coalition d’organisations de patients, soignants, chercheurs et experts en santé publique rappelle que l'élimination des hépatites virales ne sera réalisable que par l'accès effectif des personnes usagères de drogues aux services de prévention et aux traitements.
Le gouvernement canadien continue de mettre en place ces mesures de réduction des risques qui sauvent des vies pour contrer la crise des opioïdes que traverse la région.
L’ACMD, les conseillers du gouvernement en matière de drogues, avertit que les coupes représentent la plus grande menace pour les résultats des traitements de la dépendance aux drogues.
Le nouveau gouvernement de coalition fait part de son intention d’abandonner les approches répressives qui ont été expérimentées et qui ont échoué à l’égard de la consommation de cannabis.
Le Comité a demandé que la Russie soutienne les mesures internationalement reconnues de prévention de la transmission du VIH parmi les usagers de drogues injectables.
Une étude de 2012 a trouvé que 16 pays sur 22 en Afrique francophone n’ont pas de prestataire de soins de santé spécialisé dans les soins palliatifs, qui se concentrent sur le traitement de la douleur et la qualité de vie.