Priver de leurs droits les personnes qui ont été condamnées antérieurement pour des infractions liées aux drogues ne fera qu’attiser l’exclusion sociale.
Les lignes directrices, dans leur forme actuelle, ne sont ni alignées sur les recommandations des Nations Unies en vigueur en matière de réduction des risques, ni basées sur des données scientifiques.
Un centre d’accueil réservé aux femmes offre des services essentiels aux femmes, qui sont souvent affectées de manière disproportionnée par les politiques des drogues.
Le Haut-Commissaire aux droits de l’homme rappelle aux dirigeants mondiaux qu’ils doivent respecter les droits humains fondamentaux, y compris dans la mise en œuvre des politiques de contrôle des drogues.
Lors de la conférence annuelle du PSD, le 17 février, la majorité des membres du parti ont voté en faveur d’une motion pour réguler légalement la drogue « de la production à la distribution et de la distribution à la vente ».
La campagne Anyone's Child donne une voix aux familles qui ont ont été affectées par les politiques des drogues et se bat pour les droits humains des usagers de drogues et de leurs familles.
La coalition MENA sur le VIH et les Droits Humains (Coalition MENA H) aimerait annoncer officiellement son intérêt à soumettre sa candidature pour l’Appel à propositions multipays lancé par le Fond Mondial pour régler la question de la « Viabilité des services pour les populations clés dans la région MENA ».
Dans cette vidéo, l’IDPC explique les fonctions et la structure de la CND et propose des voies pour que la société civile participe et influence le débat.
Alors que les nouvelles politiques des drogues montrent des progrès vers une approche plus équilibrée et complète, en adoptant des mesures de réduction des risques, elles ne vont pas assez loin sur des aspects essentiels.