Le gouvernement canadien révèle ses intentions d’implémenter deux programmes d’échange de seringues après des années de campagne menée par les activistes.
La publication récente par la Nikkei Asian Review d’un article sur le trafic de drogues et les réfugiés Rohingya au Bangladesh soulève des doutes sur la rigueur éditoriale de la publication.
La militarisation de la guerre contre la drogue ne fait qu’engendrer de nouveaux dommages. Il s’agit d’une voie que le Brésil ne devrait pas suivre. Le Mexique fournit un exemple regrettable des défaillances de cette approche.
António Guterres a rappelé le cadre de décriminalisation au Portugal, qui a permis le déploiement efficace d’interventions de santé et de sécurité sociale.
Malgré les contrôles draconiens issus des Conventions de l’ONU, davantage de pays reconnaissent progressivement le potentiel thérapeutique du cannabis.
L’interdiction du sirop contre la toux à la codéine au Nigéria pourrait engendrer des résultats encore pire en termes de santé, avec des personnes dépendantes à la recherche de substances de remplacement.
Après la légalisation du cannabis, les Canadiens pourraient bien faire un pas supplémentaire après le vote du parti libéral en faveur de la décriminalisation de la possession des drogues. Toutefois, le Premier ministre canadien reste en retrait par rapport aux membres de son parti.
L'OHCDH lance un appel à contributions pour son rapport sur la mise en oeuvre du document final de l'UNGASS et ses intersections avec les droits humains. La date limite est le 18 mai.
Son prédécesseur quitte le poste avec des hommages, malgré la brutalité de la guerre aux drogues, qui continue à attirer des condamnations de la communauté internationale.
La production sera limitée aux usages médicaux et scientifiques, et exigera des licences couteuses; mais la réforme marque un changement substantiel au continent.